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 Connaissances

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MessageSujet: Connaissances   Connaissances Icon_minitimeVen 16 Juin - 12:15

Vipère ou couleuvre ?

Les couleuvres de la région sont toutes inoffensives pour l’Homme, même si certaines d’entre elles sont pourvues de glandes à venin. Les vipères sont dotées d’un appareil venimeux efficace ; leur morsure peut être très dangereuse, voire mortelle.

Cinq critères pour les différencier…

Mises côte à côte, vipères et couleuvres de nos régions montrent des différences évidentes.
Dans la nature par contre, différencier une couleuvre d'une vipère requiert une certaine habitude. De plus, les serpents fuient dès qu'ils sont dérangés : les occasions de les observer attentivement sont donc rares.

tête=>Ovale,Triangulaire
Recouverte de grandes écailles
Recouverte de petites écailles
Pupille ronde
Pupille verticale
corps effilé,trapu
queue,longue,courte

Sept serpents… un intrus
Sept espèces de serpents sont présentes en Loire-Atlantique. Elles sont protégées,
comme toutes celles vivant en France. Il est donc strictement interdit de les tuer,
d’en détruire les oeufs ou les petits, de les capturer même si les animaux sont ensuite
relâchés.

La couleuvre d’Esculape
Elaphe longissima
La meilleure grimpeuse

La couleuvre coronelle lisse
Coronella austriaca
La moins fréquente

La couleuvre vipérine
Natrix maura
La plus comparable à une vipère

La vipère péliade
Vipera berus
La plus massive

La vipère aspic
Vipera aspis
La plus commune

La couleuvre à collier
Natrix natrix
La plus facile à identifier

La couleuvre verte et jaune
Hierophis viridiflavus
La plus méridionale,
rare en Loire-Atlantique

Ni couleuvre, ni vipère,
l’orvet, Anguis fragilis, est un intrus parmi les serpents
Bien que dépourvu de pattes, l’orvet n’est pas un serpent mais un lézard. En effet, ses paupières mobiles le distinguent des serpents dont les yeux sont recouverts d’une écaille transparente. La présence d'orifices auditifs le dote par ailleurs d'un sens qui fait défaut aux serpents : l'audition.

Des origines encore incertaines
Des plus anciens serpents, on ne connaît que quelques vertèbres retrouvées en Algérie et dont l’âge est estimé entre 100 et 96 millions d’années.
Depuis, les serpents ont colonisé tous les continents, à l’exception de l’Antarctique.
On en dénombre aujourd'hui environ 3000 espèces.

Avec ou sans pattes ?
Proches parents des lézards, les serpents s'en distinguent par l’absence de pattes. Pourtant, les représentants de la plupart des familles actuelles, conservent des vestiges de bassin et de fémurs. C’est le cas par exemple des boas et des pythons qui possèdent, près du cloaque,
deux ergots articulés à des osselets correspondant aux membres postérieurs.

Marins ou terrestres ?
Les paléontologues sont très divisés quant à l’origine des serpents. Certains pensent qu’ils sont apparus en milieu marin. Leur ancêtre auraient été étroitement apparentés aux Mosasaures, énormes lézards marins du Crétacé disparus il y a 65 millions d'années.
D’autres au contraire affirment que l'origine des serpents se trouverait au sein d'un groupe de lézards terrestres.
Adaptés à la vie fouisseuse, les premiers serpents auraient progressivement perdu leurs pattes.
Marin ou terrestre, l'ancêtre des serpents reste encore à découvrir.

Une gueule extensible
Tous les serpents sont carnivores. Insectes, vers, mammifères, amphibiens, oiseaux,lézards, oeufs et même serpents, composent leur menu varié. Une fois repérée, la proie est attaquée et tuée avec une grande rapidité et avalée entière. La salive, plus ou moins toxique selon les espèces, l’aide à glisser vers l’estomac et participe aux
premières étapes de la digestion.
Des systèmes de détection très précis
Les serpents détectent leurs proies grâce à leurs narines et à leurs yeux, mais surtout à leur langue. Cette langue bifide recueille les particules odorantes de l'air et du sol, et les transmet à un organe "d'analyse" situé dans le palais : l'organe de Jacobson.
Chez certaines espèces, des fossettes thermosensibles décèlent les infimes variations de température liées à la proximité de proies.
Une anatomie particulière
Chez les mammifères, la mâchoire inférieure s’articule directement au reste du crâne, limitant ainsi l’ouverture de la gueule.
Le crâne des serpents présente des articulations plus mobiles. L’os carré coloré en rouge reliant la mâchoire inférieure au reste du crâne autorise une ouverture maximale de la gueule, encore accentuée par le fait que la mâchoire inférieure n'est pas soudée en son milieu.
Les proies ingérées peuvent donc être très grosses. Ainsi, certaines vipères absorbent des proies représentant plus d’un tiers de leur propre volume !

Une affaire de dents
Les serpents n’utilisent pas leurs dents pour mâcher mais pour maintenir leurs proies.
Recourbées vers l’arrière et dépourvues de racine, les dents sont implantées directement sur les mâchoires. Elles sont généralement fonctionnelles durant quelques mois seulement, mais sont remplacées tout au long de la vie de l’animal.

Les serpents non venimeux ou serpents aglyphes
Ils représentent les 3/4 des serpents actuels.
Certains d’entre eux sont constricteurs, comme les représentants de la famille des Boïdés
(pythons, boas ou anacondas) ou comme certaines espèces de la famille des Colubridés
(couleuvre d'Esculape, serpent à gouttelettes…).
Tous ces serpents constricteurs tuent leur proie en s’enroulant autour et en la serrant jusqu’à ce qu’elle cesse de respirer. Parmi les
serpents constricteurs, les boas font partie des premiers serpents apparus sur Terre.
D’autres aglyphes (couleuvre à collier, couleuvre vipérine...) peuvent aussi avaler leurs proies, vivantes.
Les dents des serpents non venimeux sont toutes identiques.

Les serpents venimeux
Ils tuent leurs proies par envenimation. Le venin est sécrété par des glandes qui ne sont autres que des glandes salivaires modifiées. Sa composition est complexe et très variable selon les familles de serpents. Elle consiste en un mélange de protéines dont certaines
peuvent être toxiques.

Les toxines sont principalement de 2 types :
les toxines des venins neurotoxiques qui agissent sur le système nerveux en déclenchant paralysie, troubles cardiaques et respiratoires, et les toxines des venins cytotoxiques qui agissent sur les cellules en
provoquant des hémorragies, des nécroses, des oedèmes.

La diversité des toxines présentes dans le venin peut donc induire des effets fort divers
(inflammations, fièvres, allergies, vomissements, hémorragies…) pouvant aller jusqu'à la mort. Le venin est injecté par des dents spécialisées : les crochets, situés à l’avant ou à
l’arrière de la gueule selon les espèces.

Une armure d’écailles
Du museau jusqu'au bout de la queue, le corps d’un serpent est entièrement recouvert d’écailles constituées de kératine, reliées entre elles par une peau souple.
La rigidité des écailles et l’élasticité de la peau assurent au serpent à la fois une protection et une liberté de mouvements.

Une variété d’écailles

Les écailles protègent le serpent des aspérités du sol et de certains prédateurs. Elles minimisent la déshydratation, facilitent la locomotion.
Un serpent présente des types d'écailles différentes selon qu'elles sont sur le dos, sur la tête, sur le ventre ou sous la queue. Leur forme, leur taille et leur couleur varient d’une espèce à une autre.
Selon la pigmentation de leurs écailles, les serpents arborent des couleurs très variées et peuvent présenter des motifs réguliers. Ces colorations procurent aux serpents la faculté de se camoufler dans leur environnement et parfois même d’imiter l’apparence de certains
autres serpents.
Des animaux qui "changent de peau"
La mue ne correspond pas véritablement à un changement de peau mais simplement au remplacement des cellules mortes de l'épiderme. Ce phénomène, très courant dans le monde animal, est spectaculaire chez les serpents car toutes les cellules se renouvellent en même
temps.
A l’approche de la mue, les yeux prennent une couleur laiteuse. L’exuvie se décolle d’abord au niveau de la gueule puis se retourne jusqu'à la queue, à la manière d'une chaussette.
L'animal s’en débarrasse en se frottant au sol, aux pierres, aux branches.
Les serpents grandissent toute leur vie durant. Chaque nouvelle étape de croissance est marquée par une mue.

OEufs et Serpenteaux

Les premiers stades de la vie d’un serpent se déroulent toujours à l’intérieur d’un oeuf.
Assez semblable à celui d’un oiseau, l’oeuf de serpent contient des réserves destinées à nourrir l’embryon et un liquide amniotique qui le protège des chocs et de la dessication.

Ovipare ou ovovivipare

La plupart des serpents pondent des oeufs : ils sont ovipares. Le nombre d’oeufs pondus est très variable selon les espèces, pouvant parfois atteindre la centaine. A quelques exceptions,observées par exemple chez les pythons, les oeufs ne sont pas couvés par la femelle mais
déposés dans une cavité ou enfouis dans le sol. La période d’incubation terminée, le serpenteau déchire l’enveloppe protectrice grâce à une petite dent “la dent de l’oeuf” qu’il possède sur le museau.
Certaines espèces, comme la vipère aspic, sont ovovivipares. L’incubation des oeufs se déroule alors dans le corps de la femelle. Les oeufs, protégés par une fine membrane translucide, éclosent au moment où la femelle met bas.


A la naissance, les serpenteaux ont déjà tous les caractères de leurs parents. Ils sont immédiatement autonomes, aptes à se déplacer et à se nourrir. S’ils appartiennent à une espèce venimeuse, ils produisent un venin aussi toxique que celui d’un adulte.
Leur vie de serpent durera plusieurs années, jusqu’à plus de 30 ans pour certaines espèces.

Contrairement à l'oeuf d'oiseau à la coquille dure, l'oeuf de serpent est protégé par une enveloppe souple.

La locomotion des serpents
Dépourvus de membres, les serpents tirent profit d’un squelette flexible et d’une musculature puissante pour se mouvoir au ras du sol, dans l’eau ou dans les arbres.
Allongement et forme du corps, larges écailles ventrales leur permettent de ramper, nager et grimper.

En savoir plus sur…
Les caractéristiques des serpents
Les serpents, des vertébrés sans pattes
Constitué d'un crâne, de vertèbres et de côtes, le squelette d'un serpent est très simple. La
colonne vertébrale est formée d'un grand nombre de vertèbres : environ 100 chez les vipères, jusqu'à 400 chez certains grands pythons. Une paire de côtes est rattachée à chaque vertèbre, excepté aux vertèbres qui composent la queue.
Ainsi, les serpents, encore appelés Ophidiens, forment un groupe d'animaux reconnaissables à une morphologie bien particulière : un corps allongé terminé par une queue et surtout une absence de membres.

Les serpents, proches parents des lézards
Les animaux les plus apparentés aux serpents sont les lézards. Ils forment ensemble le groupe des Squamates. Tous les animaux de ce groupe ont des particularités communes :
par exemple, le fait de posséder un os, l'os carré, qui leur permet une ouverture maximale de la gueule et le fait de muer tout au long de leur vie.
Ces particularités ne se retrouvent pas chez les crocodiles qui partagent plus de caractères avec les oiseaux qu'avec les serpents.
Les serpents, des animaux dépendants de la température extérieure
A la différence des oiseaux et des mammifères, les serpents ne produisent pas de chaleur.
Leur température interne dépend de la température de leur environnement. Dans la nature, un serpent est donc constamment à la recherche des bonnes conditions de température lui
permettant d’assurer ses fonctions vitales. Quand la température extérieure diminue trop, le métabolisme se ralentit et le serpent entre en hibernation.
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MessageSujet: Re: Connaissances   Connaissances Icon_minitimeVen 16 Juin - 12:16

En savoir plus sur…
La conduite à tenir en présence d'un serpent

Face à un serpent…
Craintifs, les serpents fuient mais n’attaquent jamais spontanément. En France, les morsures de serpent sont rares et ne donnent qu’exceptionnellement lieu à une envenimation grave.
En comparaison, les piqûres de guêpes ou de frelons sont plus à
craindre : elles conduisent à cinquante décès en moyenne par an contre un décès consécutif aux morsures de vipères.
Toutefois, mieux vaut ne pas approcher un serpent de trop près et surtout ne jamais essayer de le capturer ! Même non venimeux, il peut mordre et occasionner une blessure sérieuse. Ce risque peut être diminué par des précautions simples : port de chaussures adaptées, déplacements bruyants, débroussaillages aux abords des
habitations…

En cas de morsure…
Mordu par une vipère, vous ressentirez rapidement une douleur vive et verrez la zone mordue enfler. Pas d’affolement, dans nos régions, une morsure de vipère ne met pas votre vie en jeu mais vous devez vous faire prendre en charge au plus vite par un médecin ou les pompiers afin de vous faire soigner dans un hôpital.

Quelques conseils faciliteront les soins qui vous seront apportés :
> Appelez les secours le plus rapidement possible
> Restez calme, allongez vous
> Désinfectez la zone mordue mais n’utilisez ni alcool ni éther
> N’incisez pas et n’essayez pas d’aspirer le venin
> Refroidissez la zone mordue avec des glaçons enveloppés dans un tissu
> Immobilisez le membre mordu à l’aide d’un bandage non serré mais ne posez pasde garrot
> Ne buvez ni café ni thé ni alcool

En savoir plus sur…
La locomotion des serpents
Plusieurs façons de ramper
En fonction de leur anatomie et du milieu dans lequel ils évoluent, les serpents utilisent des techniques de reptation adaptées.
Les serpents massifs telle la vipère du Gabon se déplacent généralement en ligne droite, en prenant appui sur leurs écailles ventrales. Ce mode de déplacement ne permet pas d’aller vite, contrairement au déplacement par ondulations adopté par la majorité des serpents.
Contraints à progresser dans un milieu mouvant, les serpents des déserts comme la vipère à cornes, se déplacent latéralement. Quand l’espace est réduit, le serpent peut même se déplacer en accordéon, en ancrant l’avant de son corps et en ramenant l’arrière.

Nager sans nageoires
Dans l’eau, les serpents se déplacent par ondulations comme sur le sol. Certaines espèces telle que la couleuvre à collier sont capables de rester immergées pour chasser. Mais tous les serpents ont une respiration aérienne ; ils remontent donc à la surface pour respirer. Hormis
certaines espèces totalement aquatiques qui vivent dans les mers chaudes, les serpents reviennent à terre pour réguler leur température et se reproduire.
Se déplacer de branches en branches…
Dans les arbres, seulement quelques points d’appui sont nécessaires pour que le serpent se déplace par ondulations. Le serpent évolue tel un équilibriste, une partie de son corps dans le vide.
Dans les passages difficiles, la capacité à s’enrouler est précieuse. Par ailleurs, certaines espèces comme par exemple le crotale des bambous, disposent d’une queue préhensile qui leur permet de s’accrocher, de se suspendre.

Cartels
�� Noms �� Particularité �� Fiche d'identité
Couleuvre d’Esculape
Elaphe longissima
Aesculapean snake
non dangereux pour l'Homme
Le serpent des médecins
Hommage au dieu grec de la médecine, la couleuvre
d’Esculape, est représentée sur le caducée des
médecins.
Dans l’antiquité, les serpents symbolisaient par leurs
mues le rajeunissement, l’éternelle jeunesse.
Taille : en moyenne 1,10 m ; jusqu’à 1,75 m
Nourriture : petits rongeurs, oeufs, oiseaux
Reproduction : ovipare
Biotope : lisières de forêts, talus mais aussi zones
habitées
Répartition : en Europe

Couleuvre à collier
Natrix natrix
European grass snake
non dangereux pour l'Homme
Deux façons de dissuader et éloigner l’ennemi
Quand elle ne peut s’enfuir, la couleuvre à collier fait
la morte, immobile, flasque, la langue pendante. Si
on l’approche de trop près, elle émet un liquide
nauséabond.
Taille : en moyenne 70 cm ; jusqu’à 1,80 m
Nourriture : amphibiens, poissons
Reproduction : ovipare
Biotope : bordures d’étangs, de rivières, marais
Répartition : en Europe

Vipère aspic
Vipera aspis
Aspisviper
venimeux
dangereux pour l'Homme
Une garde-robe colorée
La vipère aspic peut être grise, brune, jaunâtre,
brun-rouge… Mais grise ou rouge, elle demeure tout
aussi dangereuse.
Taille : en moyenne 70 cm ; jusqu’à 80 cm
Nourriture : petits rongeurs
Reproduction : ovovivipare
Biotope : terrains secs, talus, éboulis
Répartition : en Europe

Mocassin d’eau
Agkistrodon piscivorus
Cottonmouth
venimeux
dangereux pour l'Homme
Une bouche de coton
Avant d’attaquer, le mocassin d’eau se dresse, le
corps en "S " et ouvre sa bouche, impressionnante et
blanche comme du coton, d'où son nom anglais de
"cottonmouth"
Taille : en moyenne 1,10 m ; jusqu’à 1,90 m
Nourriture : petits rongeurs, oiseaux, amphibiens,
poissons, autres serpents
Reproduction : ovovivipare
Biotope : marais, rizières, étangs, fossés
Répartition : en Amérique du Nord

Crotale diamantin de l’ouest ou
crotale du Texas
Crotalus atrox
West diamondback rattlesnake
venimeux
dangereux pour l'Homme
Le serpent à sonnette
Le bruiteur du crotale est constitué des anneaux secs
laissés à chaque mue.
Au rythme de 3000 vibrations par minute, le bruiteur
émet un son qui s’entend à plusieurs dizaines de
mètres.
Taille : en moyenne 1,50 m ; jusqu’à 2,1 0 m
Nourriture : mammifères
Reproduction : ovovivipare
Biotope : plaines sèches et milieux semi-désertiques
Répartition : en Amérique du Nord

Python royal
Python regius
Ball python
non dangereux pour l'Homme
Le "python –boule"
En cas de danger, le python royal se roule en boule,
en cachant sa tête au milieu…mais sans pour autant
se mordre la queue !
Taille : en moyenne 1,10 m ; jusqu’à 2 m
Nourriture : petits rongeurs
Reproduction : ovipare
Biotope : lisières de forêts, savanes
Répartition : en Afrique

Anaconda jaune
Eunectes notaeus
Yellow anaconda
constricteur
dangereux pour l'Homme
Un animal de légende
Les récits des explorateurs ont pendant longtemps
fait état d’anacondas de 18 mètres de long. Pure
légende !
Les plus grands anacondas connus, les anacondas
verts, mesurent environ 8 mètres.
Taille : en moyenne 2,50 m ; jusqu’à 3,50 m
Nourriture : mammifères, oiseaux, poissons, crocodiles
Reproduction : ovovivipare
Biotope : forêts humides, marécages, bordures de cours
d’eau
Répartition : en Amérique du Sud

Vipère du Gabon
Bitis gabonica rhinoceros
Gaboon adder
venimeux
dangereux pour l'Homme
Attention danger !
La vipère du Gabon possède un système venimeux
des plus perfectionnés. Son venin, très toxique, est
sécrété en grande quantité et injecté par des
crochets qui peuvent atteindre 5 cm de long.
Taille : en moyenne 1,20 m ; jusqu’à 2 m
Nourriture : rongeurs, oiseaux
Reproduction : ovovivipare
Biotope : forêts, plantations, signalée en milieux urbains
Répartition : en Afrique

Crotale des bambous
Trimesurus albolabris
Bamboo viper
venimeux
dangereux pour l'Homme
Vivre dans les arbres
Le crotale des bambous passe l’essentiel de son
temps dans les arbres. Contrairement à certains
autres crotales, il ne possède pas de bruiteur. Sa
queue, longue et fine, lui permet de se suspendre
aux branches. Ainsi installé, le crotale des bambous
chasse à l’affût.
Taille : en moyenne 60 cm ; jusqu’à 1 m.
Nourriture : petits mammifères, lézards, amphibiens,
oiseaux
Reproduction : ovovivipare
Biotope : forêts, buissons, taillis
Répartition : en Asie

Vipère à cornes
Cerastes cerastes
Sahara horned viper
venimeux
dangereux pour l'Homme
Deux cornes au-dessus des yeux
Chaque "corne" est constituée d’une seule écaille,
allongée et pointue.
Lorsque la vipère est enfouie dans le sable, seuls ses
yeux, ses narines et ses cornes dépassent.
Taille : en moyenne 60 cm ; jusqu’à 80 cm
Nourriture : petits mammifères, lézards, oiseaux
Reproduction : ovipare
Biotope : déserts de pierres et de sable, à buissons
clairsemés
Répartition : en Afrique du Nord
Crotale du Vénézuela
Crotalus vegrandis
Uracoan rattle snake
venimeux
dangereux pour l'Homme
Cocktail de toxines
Hémorragique, neurotoxique, nécrotique.... le venin
du crotale du Vénézuéla ne laisse aucune chance à la
proie qui peut mourir instantanément.
Taille : de 75 cm à 1,40m
Nourriture : petits mammifères
Reproduction : ovovivipare
Biotope : plaines côtières
Répartition : en Amérique du Sud

Crotale cascabelle
Crotalus durissus
Cascabel rattelsnake
venimeux
dangereux pour l'Homme
Un thermomètre très sensible
Grâce à deux fossettes situées sous les narines, les
crotales sont capables d’analyser des différences de
températures à quelques centièmes de degrés près.
Ils peuvent ainsi détecter le passage d’une proie, y
compris la nuit.
Taille : en moyenne 1,50 m ; jusqu’à 1,80 m
Nourriture : mammifères, lézards
Reproduction : ovovivipare
Biotope : régions semi-arides et sèches, savanes
Répartition : en Amérique centrale et Amérique du Sud

Python molure
Python molurus
Indian python
constricteur
dangereux pour l'Homme
Record d’âge, de taille et de poids au Muséum
Avec l’anaconda vert, le python de Seba et le python
réticulé, le python molure fait partie des géants
parmi les serpents.
En 1972 , un individu de cette espèce est arrivé au
Muséum de Nantes. Il mesurait alors 50 cm. Cet
animal a vécu 32 ans ; il avait atteint une taille de 5
mètres et un poids de 85 kg.
Taille : en moyenne 3,50 m ; jusqu’à 7,50 m.
Nourriture : rongeurs, oiseaux
Reproduction : ovipare
Biotope : lieux humides
Répartition : en Asie

Serpent des blés à
gouttelettes
Elaphe guttata
Corn snake
non dangereux pour l'Homme
De toutes les couleurs
Très prisée des éleveurs, cette couleuvre a fait
l’objet de croisements et de sélections. Aujourd’hui,
les serpents des blés montrent une grande variété de
couleurs et de motifs.
Taille : en moyenne 1,10 m ; jusqu’à 1,80 m
Nourriture : petits rongeurs, oiseaux, chauve-souris
Reproduction : ovipare
Biotope : forêts, talus, éboulis, lieux humides mais aussi
zones habitées
Répartition : en Amérique du Nord

Mocassin à tête cuivrée
Agkistrodon contortrix
Copperhead
venimeux
dangereux pour l'Homme
Une tenue de camouflage
Tapi dans les feuilles mortes, nul ne le remarque.
Son secret : une peau aux couleurs et motifs qui
passe parfaitement inaperçue sur le sol forestier.
Taille : en moyenne 1,10 m ; jusqu’à 1,75 m
Nourriture : petits rongeurs, oeufs, oiseaux
Reproduction : ovovivipare
Biotope : lisières de forêts, talus mais aussi zones
habitées
Répartition : en Amérique du Nord

Vipère ottomane
Vipera xanthina
Ottoman viper
venimeux
dangereux pour l'Homme
Une vie nocturne...
L'activité des serpents dépend essentiellement de la
température extérieure. Au printemps, la vipère
ottomane est active durant le jour. En été, quand les
températures sont plus hautes, elle se déplace et
chasse de préférence la nuit.
Taille : de 80 cm à 1m
Nourriture : petits mammifères, oiseaux
Reproduction : ovovivipare
Biotope : très varié
Répartition : en Europe

Serpent roi
à bandes grises
Lampropeltis alterna
Grey banded kingsnake
non dangereux pour l'Homme
Une variété de couleurs
Cette couleuvre américaine se reconnaît à ses larges
bandes colorées qui alternent avec des bandes plus
fines, noires ou gris clair. Les petits d'une même
ponte peuvent avoir des couleurs très différentes .
Taille : jusqu'à 1,20 m.
Nourriture : petits mammifères, lézards, serpents
Reproduction : ovipare
Biotope : terrains secs, forêts, éboulis
Répartition :en Amérique du Nord
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